Facebook Group Watch Party
Facebook Watch Party

L’actualité en bref du numérique du 25 juillet 2018

Le fabricant chinois de puces Tsinghua Unigroup aurait racheté le Français Linxens pour 2,2 milliards de dollars, affirme Reuters. La transaction doit encore être approuvée par les autorités compétentes. Ce qui sort de l’ordinaire, c’est que la transaction aurait eu lieu il y a un moins, sans que personne n’en soit informé. Linxens est un fabricant de composants pour les cartes à puces et les puces RFID , qui emploie 3 000 personnes.

 


Facebook fait à nouveau ce que qu’elle sait faire le mieux : copier la concurrence. L’entreprise lance Watch Party, qui permet aux gens d’un groupe de regarder ensemble une vidéo et de la commenter. Somme toute comme Twitch ou YouTube.

 


Lundi, Google se vantait qu’aucun de ses employés n’a été victime d’attaque par hameçonnage depuis qu’ils utilisent une clé de sécurité physique au lieu de mots de passe. Une sorte de publicité, puisque l’entreprise américaine lance maintenant sa propre clé de sécurité, Titan Security Key, au choix en USB ou en Bluetooth,  vendue environ 20à 25 dollars hors taxe, sans doute 21 à 26 euros TTC, disponible dans les prochains mois.

 


Le conglomérat GlaxoSmithKline (GSK) investit 300 millions de dollars (256 millions d’euros) dans 23andMe, une entreprise américaine spécialisée dans les tests ADN grand public. GSK obtiendra en échange un accès exclusif à la base de données d’ADN. L’espoir est que sa plus grande filiale, son unité pharmaceutique, aux résultats médiocres, développe plus rapidement de nouveaux médicaments.

 


D’après Les Échos, le groupe de transport public Keolis cherche à se débarrasser de sa participation de 51 % du capital de LeCab, une plate-forme de VTC, acquise en mars 2016. La compétition s’intensifie sur le secteur, et les constructeurs automobiles acquièrent des concurrents pour développer leurs propres services de mobilité.

 


Intel perd un procès en appel contre l’IRS, l’agence fédérale en charge de la collecte des impôts et du respect des lois fiscales aux Etats-Unis. En question est le droit des entreprises américaines à passer des dépenses, en particulier les compensations en options, dans leurs filiales étrangères dans des pays à faible imposition, afin de faire l’économie de taxes aux Etats-Unis.

Cette affaire intéresse de prêt la plupart des grandes entreprises technologiques qui exploitent avec voracité toute niche fiscale. Intel peut interjeter appel de l’appel.